Vous avez déjà eu cette impression de déjà-vu ?
Ces vidéos d’entreprise qui commencent toutes par un drone, un sourire, une musique piano et la même voix off neutre.
Le storytelling calibré, la punchline interchangeable.
Le résultat : propre, mais oublié dès qu’il s’arrête.
Chez Potiok, on s’est demandé pourquoi et surtout, comment en sortir…
1. Parce qu’on a confondu “qualité” et “conformité”
Dans la course au “propre”, on a oublié le “singulier”.
Tout le monde veut faire “pro”. Et “pro”, c’est souvent… ce qu’on a déjà vu ailleurs.
Résultat : des vidéos impeccables, mais interchangeables.
2. Parce que le brief type n’existe pas (et pourtant tout le monde en a un)
La plupart des briefs se rédigent souvent en 20 minutes, avec les meilleures intentions du monde.
Mais un bon brief, ce n’est pas un cahier des charges c’est avant tout une conversation.
Un moment pour dire ce qu’on veut que les gens ressentent, pas seulement ce qu’on veut leur montrer.
3. Parce que tout le monde saute l’étape la plus rentable : la réflexion.
La créativité, ce n’est pas une dépense, c’est une économie de sens.
Une heure passée à clarifier son angle évite dix heures de retouches.
Ce n’est pas glamour, mais c’est ça, le vrai levier budgétaire.
4. Ce que font les marques qui sortent du lot
Elles osent les formats hybrides : un mix tournage / motion / voix sincère.
Elles racontent une idée avant de vendre un produit.
Et elles acceptent que tout ne plaise pas à tout le monde car c’est ça, la personnalité.
Le problème, ce n’est pas que tout le monde fait des vidéos.
C’est que tout le monde fait les mêmes.
Et si la vôtre commençait par une question au lieu d’un logo ?