Une belle idée ne suffit pas à faire une bonne vidéo.
Entre le brief, le tournage et la livraison, les imprévus peuvent vite s’enchaîner. La production vidéo demande méthode et anticipation.
Voici les 5 erreurs les plus fréquentes et surtout, comment les éviter dès le départ.
1. Démarrer sans objectif clair
C’est la base, mais c’est souvent la première faille.
Chaque objectif implique un format, un rythme, un ton, et un mode de diffusion différent.
Le bon réflexe : définir une phrase-clé de mission avant tout scénario. Si elle n’est pas claire, le reste ne le sera pas non plus.
2. Sous-estimer la phase de préparation
C’est la partie invisible du métier et pourtant la plus déterminante.
Un repérage de lieux mal fait, une mauvaise gestion des autorisations ou un oubli de matériel peuvent coûter une journée de tournage.
La préparation, c’est aussi penser au timing réel, pas au planning rêvé.
Chez Potiok, on consacre souvent plus de temps à la préproduction qu’à la captation. Parce qu’un tournage fluide, c’est un tournage qui a déjà été “joué dans la tête” avant d’appuyer sur rec.
3. Ne pas aligner toutes les parties prenantes
Un chef de projet vidéo, une direction com, un service RH, un partenaire externe… chacun a sa vision.
Quand ces visions ne sont pas alignées, les validations s’éternisent et le message s’affaiblit.
L’astuce simple : organiser des points de validation avant le tournage, où tout le monde confirme le ton, le message et les visuels clés.
Cela évite les “on n’avait pas imaginé ça comme ça” à la livraison.
4. Croire qu’on peut improviser le jour J
Même les tournages les plus “spontanés” reposent sur une structure solide.
L’improvisation, ça se prépare.
La lumière, la météo, la disponibilité des intervenants, les autorisations de lieu : tout doit être anticipé pour qu’au moment de tourner, on puisse se concentrer sur l’humain et l’émotion.
Le bon réflexe : créer une feuille de route claire (planning, intentions visuelles, plan de tournage).
5. Négliger la post-production
Une fois le tournage terminé, beaucoup pensent que le plus dur est fait.
Erreur classique.
C’est souvent à ce moment-là que tout se joue : cohérence du récit, rythme, mixage, sous-titres, adaptations multi-langues ou multi-formats.
Un bon projet, c’est un projet qui anticipe la post-production dès le départ : génériques, habillage, formats 9:16 ou 1:1, livraison social media.
C’est ce qui fait la différence entre une vidéo bien faite et une vidéo qui performe.
Une production réussie, c’est 20 % d’inspiration et 80 % d’organisation.
Les marques qui l’ont compris livrent des contenus plus cohérents, plus rapides et plus rentables.
Chez Potiok, c’est notre méthode depuis toujours : pragmatisme, clarté, anticipation.